Obras eróticas

Obras eróticas Honoré Gabriel de Riqueti Mirabeau...

Compartilhe


Obras eróticas


Erotika Biblion : Roman Érotique




Nesta obra, o Conde de Mirabeau (1783) traz hilariantes contos e crônicas eróticas que transitam entre o humor, a farsa e a lubricidade, um verdadeiro achado literário que já está merecendo relançamento em nosso país. |...| A Erotika Biblion de Mirabeau sem nenhuma dificuldade subsiste porque tem páginas a soltarem torrentes de subtil ironia, leve no gracejo, evocando com frequência os contos e novelas de Voltaire.
====
https://pt.m.wikipedia.org/wiki/Honoré_Gabriel_Riqueti_de_Mirabeau
https://issuu.com/sistemasolar/docs/excerto_mirabeau_erotika_biblion
====
Erotika Biblion ist eines der ersten pornografischen Werke der Weltliteratur - vergleichbar nur noch mit den Schriften des Marquis de Sade. Der Schriftsteller Henry Marchand nannte Erotika Biblion "eines der seltsamsten Bücher, das jemals geschrieben wurde".
In der Einsamkeit und Trennung von seiner Geliebten Sophie hinter den Gefängnismauern von Vicennes schrieb Mirabeau, ein hitzköpfiger Lebemann, Erotika Biblion und veröffentlichte es 1783 anonym und mit dem fiktiven Erscheinungsort "A Rome de l‘ Imprimerie du Vatican".
Auf den ersten Blick handelt es sich um ein rein erotisches und - für die damalige Zeit - schonungslos pornographisches Werk: Mirabeau geht auf unterschiedlichste Aspekte der menschlichen Sexualität ein. Er skizziert diese in einzelnen Kapiteln, die mit Kunstworten überschrieben sind. So werden Themen wie Homosexualität (überschrieben mit "Thalaba"), Tribadismus ("Andrandine"), Beschneidungen ("Akripodie") oder Nymphomanie ("Kadhesch") abgehandelt. Genüsslich führt er dabei bis in jedes Detail aus, wie "verdorben" die Völker der Antike in Wahrheit gewesen seien, die immer wieder als die Vorbilder in Sachen Vernunft, Ethik und Religion dargestellt wurden. Verschont werden dabei weder die Philosophen des antiken Griechenlands, noch das biblische Volk Israel, dessen sexuelle Ausschweifungen anhand von Zitaten aus der Bibel beschrieben werden. Der Leser erfährt so von Inzucht, Sodomie und Masturbation in der Heiligen Schrift.
====
Voici la bibliographie de l’édition de l’Erotika biblion, à la date de 1833, sur laquelle nous avons réimprimé :
Erotika biblion, par Honoré-Gabriel Riqueti, comte de Mirabeau, nouvelle édition, revue et corrigée sur un exemplaire de l’an IX, et augmentée d’une préface et de notes pour l’intelligence du texte. Paris, chez les frères Girodet, rue Saint-Germain-I’Auxerrois, MDCCCXXXIII ; avec les épigraphes : Έν χαιρῶ έχάτῆρον. — Abstrusum excudit. Petit in-8°, de XII-271 pag. Une vignette polytypée, sur le titre, représente Jupiter, balançant ses carreaux.

On lit dans la Bibliographie des ouvrages relatifs à l’Amour, aux Femmes, au mariage, par le C. d’I***. (M. Gay, libraire), à propos de cette édition :

« Une édition accompagnée d’un commentaire étendu, et rédigé en grande partie, à ce qu’on assure, par l’auteur du Glossarium eroticum linguœ latinœ, fut imprimée vers 1831 ; mais elle fut détruite presque aussitôt après l’impression ; à peine quelques exemplaires, introuvables aujourd’hui, ont-ils été conservés . »

L’intérêt de cette édition, dont le bibliographe ne parle, on le voit, que par ouï-dire, consiste, en effet, dans une préface, et surtout dans des notes d’une étendue presque égale à celle du texte original. L’auteur de ce travail d’érudition avait une vaste lecture ; il était imbu de la philosophie du xviiie siècle, et d’ailleurs suivait avec curiosité le mouvement littéraire et social du xixe. En tête de ses notes sur le chapitre Anagogie, il fait une citation de la sixième Méditation de Lamartine. L’épigraphe de ses observations sur le chapitre Kadhésch, est empruntée à un roman de Stanislas Macaire, La Cantinière, publié en 1831. Au cours de ses réflexions sur le chapitre Le Thalaba, il parle des Saint-Simoniens. On peut inférer de cette dernière circonstance, et de la précédente, qu’il mit la dernière main à ses commentaires peu de temps avant leur impression.

Maintenant quel était le nom de cet érudit ? C’est ce que nous n’avons pu découvrir, et à supposer qu’il fût le chevalier Pierrugues, nous ne serions pas moins embarrassés de parler de lui que si nous ignorions absolument comment il s’appelait.

Quérard cite le chevalier Pierrugues comme auteur du Glossarium eroticum linguœ latinœ, paru en 1826, sous les initiales P. P., dont le prospectus, imprimé, dit-il, l’année suivante, donna le nom en toutes lettres. On peut l’en croire, mais à ce renseignement, aucun recueil biographique que nous ayons pu consulter n’a rien ajouté. Les biographes ignorent même le nom de Pierrugues.

Un curieux a fait, en mars dernier, un appel aux lecteurs de l’Intermédiaire, pour tirer au clair la vie et les œuvres de ce mystérieux chevalier. Tout ce qu’il a pu obtenir s’est réduit à cette note :

« Il se trouvait à Bordeaux, il y a plus de quarante ans, un ingénieur, nommé Pierrugues, qui a publié, en 1826, un fort bon plan de cette ville (sa topographie a depuis éprouvé de grands changements). J’ai toujours entendu dire que ce Pierrugues était l’auteur du Glossarium. Je possède un exemplaire de ce volume, et au-dessous du titre, on lit une note manuscrite, ainsi conçue :

« Ab Eligio Johanno constructum, auspicio et curâ (forsitan) baronis Schonen. » « S. E. »

Les initiales S. E. cachent sans doute ici le savant bibliothécaire de la ville de Bordeaux, M. Gustave Brunet, lequel a signalé, le premier, dans sa Dissertation sur l’Alcibiade fanciullo, la collaboration d’Éloi Johanneau et du baron de Schonen au Glossaire érotique latin.

Quoiqu’il en soit, la vie de l’humaniste Pierrugues reste à connaître tout entière, réserve faite de son séjour à Bordeaux, en admettant qu’il soit le même que l’ingénieur Pierrugues. Mais à supposer que des recherches, plus heureuses que les nôtres, fixent sa biographie, nous doutons qu’elles lui confirment l’attribution des notes de l’Erotika biblion. En voici la raison : l’auteur de ces notes a dressé, à propos du chapitre La Linguanmanie, un supplément à la nomenclature de Mirabeau, des mots de la langue latine qui bravent le plus l’honnêteté ; or, les définitions qu’il en a données sont autres que celles du Glossarium, et moins précises et moins complètes.

Si nous ne savons rien sur l’annotateur de l’Erotika de 1833, pour comble de disgrâce, nous ne connaissons pas davantage la raison de l’extraordinaire rareté de cette édition.

Plusieurs bibliophiles nous ont donné, à tour de rôle, pour cause de sa presque disparition, le fameux incendie de la rue du Pot-de-Fer, dont la date est le 15 décembre 1835, c’est-dire postérieure de deux années au moins à la publication. — Il est impossible d’admettre qu’un livre qui a pu se vendre ostensiblement, deux années durant, soit devenu introuvable au bout de trente ans, le fonds d’édition ait-il été brûlé.

Mieux vaut ignorer que se livrer arbitrairement aux conjectures. Nous attendrons avec patience qu’un hasard heureux permette de traiter en connaissance de cause des points obscurs d’érudition bibliographique soulevés dans cet avant-propos.

Cependant, voici une réimpression de cette fameuse édition de 1833.
Nous n’avons pas épargné le temps à la compléter dans de nombreux détails, et à la faire plus correcte que son modèle.

Aventura / Biografia, Autobiografia, Memórias / Comunicação / Crônicas / Erótico / Ficção / História / História Geral / Não-ficção / Romance / Política

Edições (2)

ver mais
Obras eróticas
A Vida Tormentosa de Mirabeau

Similares

(84) ver mais
Teresa Filósofa
O Sofá
As Façanhas de um Jovem Don Juan
Coma de 4

Estatísticas

Desejam8
Trocam
Informações não disponíveis
Avaliações 3.7 / 7
5
ranking 14
14%
4
ranking 43
43%
3
ranking 43
43%
2
ranking 0
0%
1
ranking 0
0%

48%

52%

Fabrício Franco
cadastrou em:
15/01/2010 03:19:43
orffeus
editou em:
29/04/2023 19:09:28

Utilizamos cookies e tecnologia para aprimorar sua experiência de navegação de acordo com a Política de Privacidade. ACEITAR